Recherche clinique

La CNO participe à la recherche clinique dans un large éventail de maladies neurologiques. Nous croyons important de contribuer au développement de nouvelles thérapies et d’enrichir les connaissances en neurosciences et en médecine.

Nous travaillons à rendre les fauteuils roulants obsolètes.

Pourquoi la recherche clinique?

À la CNO, la recherche et la pratique clinique vont de pair.

Nous participons de façon continue à plusieurs essais cliniques visant à mettre au point de meilleurs traitements pour diverses maladies : sclérose en plaques, AVC, maladie de Parkinson, maladie d’Alzheimer et glioblastome multiforme (GBM). Notre participation nous permet d’offrir de nombreux traitements bien avant qu’ils ne deviennent accessibles à la majorité des spécialistes, donnant ainsi aux patients la possibilité de choisir parmi un éventail de soins qui, bien qu’expérimentaux, peuvent s’avérer plus efficaces. Les traitements de pointe ne sont pas la seule raison pour laquelle nous menons des essais cliniques, ni la seule raison pour laquelle les patients choisissent d’y participer. Notre implication nous permet d’améliorer les protocoles et de faire progresser les traitements eux-mêmes. En neurologie, des avancées majeures ont été réalisées ces dernières années; elles auraient été impossibles sans la participation conjointe des médecins, des infirmières et des patients.

« La recherche complète notre approche thérapeutique. »

— François Jacques, neurologue, fondateur

Sclérose en plaques

Au cours des dernières décennies, le domaine de la SEP a connu une expansion rapide des nouvelles thérapies. Depuis 25 ans, la CNO participe au développement de la plupart des nouveaux traitements pour la SEP. Nous continuons d’y contribuer et demeurons à l’avant-garde de la recherche clinique sur la SEP.

Myasthénie grave

La dernière décennie a transformé le paysage thérapeutique de la myasthénie grave. De nouveaux traitements aux mécanismes novateurs — déplétion des lymphocytes B, inhibition du complément, blocage du récepteur néonatal Fc — sont maintenant disponibles et offrent la perspective de rémissions prolongées.

Maladie de Parkinson

La recherche sur la maladie de Parkinson a accompli d’immenses progrès au cours des dernières décennies : meilleure compréhension des mécanismes sous-jacents, amélioration des traitements symptomatiques et interventions visant à ralentir ou stopper la progression de la maladie.

Neuropathie motrice multifocale

La neuropathie motrice multifocale (NMM) est une maladie auto-immune rare touchant les nerfs moteurs périphériques. Elle se manifeste par une faiblesse asymétrique, indolore et lentement progressive des mains et/ou des jambes, sans perte sensitive.

Sclérose latérale amyotrophique (SLA)

La SLA est une maladie neurodégénérative rare qui touche les systèmes nerveux central et périphérique, avec une incidence estimée de 1 à 3 cas par 100 000 personnes par année.

Maladie d’Alzheimer

La maladie d’Alzheimer est une affection cérébrale progressive et éventuellement fatale, responsable de 60 à 80 % des cas de démence. Les processus pathologiques débutent des décennies avant les premiers symptômes, d’où l’importance du dépistage et d’interventions précoces.

Polyradiculonévrite inflammatoire démyélinisante chronique (PIDC)

La PIDC est une maladie auto-immune qui atteint le système nerveux périphérique.

Glioblastome multiforme

Le glioblastome multiforme est la forme la plus fréquente et la plus agressive des tumeurs cérébrales malignes primaires.